"Ocre, gris et rouille jouent, jonglent/avec tes quatre têtes lisses,/têtes de ta tête./Et ça virevolte et ça leur donne/un petit air fragile./..."
Exhorter à nourrir le rond est ici tout sauf un appel à la complaisance dans une soumission à un quelconque Grand Tout ou à une béatitude permanente et achevée. C’est avant tout le souhait d’une recherche, dans son exigence de lâcher prise (ce travail terrible !) L’oiviveté n’est pas toujours de tout repos... C’est toucher sans cesse à l’une des fonctions, (...)