PENHIR
Je vais au beau, vais au rude, vais au vaisseau charriant le sang des pierres. Je vais aux poussières sans bois, vais au roc.
J’ai boit-sans-soif, cidres et Coreff et brouillards, et grasses pâtes de blé dur au bout de ma glu d’escargot.
Je vais à la mer sans grève, vais aux gosiers de (...) >suite